Sharo Kasitsy { Terminé }

Nom : Kasitsy

Prenom : Sharo

Age : 18 ans.

Taille : 1m 70

Description physique :

Elle à encore un visage d'enfant. De gamine des rues. Son teint est pêche, se qui est assez rare d'ailleurs. Le blanc domine souvent sa peau. Ses cheveux sont assez longs et lui descendent facilement au bassin. Leurs couleurs ? Simple. Rouge sang. Rouge meurtrier. Non, ce n'est pas de la teinture, mais la couleur qui s'est accumulé à cause de ses crimes. Ses yeux sont grands et interrogateurs couleur rubis. Dans ce visage d'ange inexpressif s'ajoute un sourire invisible. Pas un seul sourire ne traverse son visage sauf quand elle sur le point de tuer... Une réelle liberté. Son corps est... Maigre. Pas au point de voir ses os, mais il est plus maigre que la moyenne. Sharo dit ça comme ça. C'est peut être " Son " corps, elle ne préfère ne pas y faire attention et agit avec ses armes. Elle est assez grande, environ un mètre soixante-dix. Ce n'est pas énorme tout de même. Ses mains sont souvent tacher de sang. Essayer de les laver, ne servirait pas à grand chose. Les douleurs du passé reste graver dans le coeur à jamais....
Dans la catégorie vêtement, elle ne fait pas la difficile. Un haut qui colle à la peau noir, déchiré sur les bords. Il n'a rien d'ordinaire. Simplement ce vide, ce noir si profond. Elle porte également short, matière jean. Celui ci s'arrête à peine à ses cuisses. Il n'a pas de poches et à part cette couleur bleu foncé n'a rien d'extraordinaire. Coté chaussures, c'est assez simple. Non, elles ne sont pas invisibles. Simplement inexistante. Ce n'est pas ce qui lui fait mal, la douleur du sang qui coule en elle est bien plus intense. Sa silhouette est fine et elle se dissimule partout facilement. Un chasseur prêt à traquer sa proie et ce n'est pas le nombre qui va l'arrêter. Passons coté arme. Disons que ses armes favorites, ou plutôt Son arme favorite reste le poignard. Petit, discret et facile à enfoncer dans la chair des gens, c'est parfait ! Le sang présent sur le poignard appartient facilement à pas mal de personne. Elle le lave régulièrement mais les taches s'accumule à son grand plaisir. Sa signature après un crime ? Simple. Une large tache de sang de la victime pouvant s'étendre jusqu'à un mètre de diamètre. Jouer avec le sang, quelle occupation passionnante qu'on à du temps. Hélas, c'était le seul problème. Le temps. Il n'est jamais assez long, jamais trop court. Un défaut de plus à ajouter à ce monde. Tout le monde, un jour ou l'autre mourra. Par une lame enfoncer dans le coeur ou par le temps, qui tue petit à petit. Mais personne ne peut l'arrêter. Personne à son plus grand désespoir...

Description mentale :

Chaque phrase à son sujet est la même.... " Quelle adorable enfant... ", " Qu'elle est fragile ! " Si ces paroles étaient notés, une bulle aurait cessé chaque geste. On aurait pu dire que c'était une gamine qui venait de vous porter un coups au ventre mais la puissance faussait cette déduction. Qui était elle ? Agile et rusé, fuyant comme le vent, ne laissant qu'un peu de sang à chaque fois. Le sang. C'était sans doute pour cela qu'elle vivait. Etrange... Certes mais réaliste. Elle tuait pour survivre. La soif de vengeance. C'était sans doute ça qui alimentait sa rage chaque jour. Savoir que quelqu'un avait massacré sa famille était douloureux et le mot souffrance était celui qui convenait parfaitement. Son esprit n'était pas tordu, elle n'aimait pas la simplicité. Compliquer les choses étaient un de ses " Jeux " favoris... Non, elle n'était pas dérangé mentalement, elle avait mal et avait besoin de le faire comprendre en faisant couler tout les jours un peu plus le sang dans ce monde d'injustices et de cruauté. C'était presque une obsession. Sang. Sang. Sang ! A chaque seconde, l'envie de voir quelqu'un la supplier d'arrêter ses désastres étaient un plaisir... Intense. Elle aimait cela et personne ne la stopperai. Personne ne lui enlèvera son seul plaisir. Elle est fidèle, certes. Mais ne s'attache pas aux gens. Elle pourrait tuer son ou sa meilleure amie... Enfin, il fallait déjà qu'elle en trouve. Elle n'était pas désagréable, la jeune fille voulait simplement à chaque seconde de sa misérable existence tuer quelqu'un. Les rares personnes qui partageaient ce goût avait bien vite abandonné. " Trop rapide " ou " Ne m'attends jamais pour tuer " étaient les principales raisons. Ils étaient trop lents. Pfff... Malgré ce sadisme irréparable, elle souffrait. Elle avait mal et pendant qu'elle tuait telle un chasseur, elle avait mal. Mal de savoir sa mère morte... De savoir que tout cela était du à cause d'un homme, qui ne voulait pas réagir aux hurlements de sa fille sous prétexte qu'il n'avait pas envie. Qu'il " Travaillait " comme il dit.

Grade visé: Celui qui correspond le mieux à ma présentation ! =)

Nindo : Tuer. Pas les innocents, seulement ceux qui traversent sa route.

Histoire :

J'avais mal... Mal. Mon coeur me brulait et mes yeux ne me permettait plus de voir. C'était comme si on m'avait arraché une partie vitale de mon corps. Pourtant il ne me manquait rien. Tout était devenu noir, puis blanc. Ca s'enchaînait sans cesse. C'était insupportable. Je n'avais jamais beaucoup réfléchi à la manière dont je mourrais - même si ces derniers mois, j'aurais eu toutes les raisons de le faire - mais je n'aurai pas imaginé que ça se passerait ainsi.
Haletante, je fixai les yeux noirs du prédateur, à l'autre bout de longue pièce. Il me rendit mon regard avec affabilité.
C'était sûrement une bonne façon d'en terminer. A la place d'un autre, d'un que j'aimais. Noble, pourrait-on dire. Ca devrait compter en ma faveur.
Si je n'étais pas partie, je ne me serais pas retrouvée dans cette situation, j'en avais conscience. Pourtant, aussi terrifiée que je fusse, je n'arrivais pas à regretter ma décision. Quand la vie vous a fait don d'un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin.
Ce fut avec un sourire aimable et tranquille que le chasseur s'approcha pour me tuer....

C'était un 28 Janvier. Peu de temps après noël. Un hurlement retentit, une meurtrière était née. Encore inoffensive mais déjà éviter. " L'enfant Maudit ", " La Trahison ". C'était les nombreux surnoms que recevaient chaque jour Sharo de la part de son village... Konoha. Ses parents n'étaient pas des meurtriers, ils étaient pacifistes et ne demandaient que la paix. Alors pourquoi tout ces surnoms à propos de leur fille ? Comme si quelqu'un avait annoncé au peuple qu'ils allaient mourir.

Trois ans plus tard...

" Oka-San ? "

" Oui Sharo ? "

C'était un bel après midi de novembre. Le soleil était encore présent, il ne faisait pas très froid. La mère de l'enfant coupait du bois sous le regard attentif de sa fille. La fillette bafouilla plusieurs fois avant de sortir ces quelques mots.

" Je veux mourir. "

Sa mère se figea. La hache entre les mains. Son regard était vide, comme mort. Le temps c'était arrêté. Les paroles de la gamine retentissait comme un écho. " Je veux mourir "... " Je veux mourir "... Pourquoi donc ? Ce n'était pas quelques mots parti au hasard, non ça avait un sens, beaucoup plus grave qu'elle ne le pensait. Son teint avait virer au blanc et elle lâcha la hache. Celle ci vint se planter près du pied en l'effleurant et laissant apparaître une large tache de sang. La jeune femme vacilla et s'écroula non loin de l'arme. La fillette hurla de toute ses forces, enfin elle essaya. Son père, non loin de là entendait bien les pleures de sa fille mais ne bougea pas. Ce n'était qu'après une heure de cri et de larmes qu'il accourra vers sa famille. Il retrouva Sharo assise à coter de sa mère, les larmes se mêlant au sang déjà présent. La jeune femme ne s'était toujours pas réveiller.

" Sharo ! Dis moi ce qu'il sait passer ! Dis le moi ! Dis le moi maintenant !! "

Ses paroles étaient si fortes, si blessante. Mais à force de crier, la fillette n'avait plus l'énergie pour quelques paroles. Il s'approcha d'elle, et la claqua si fortement qu'il l'envoyer valser à quelques mètres. Lui, qui était si doux, si attentionné. Il venait de la frapper.
Quelques années passèrent après cet incident. La mère de Sharo mourut. De douleur ou de peur, personne ne saurai. La relation entre la fillette et son père était encore instable. Elle ne l'approchait plus et bien qu'ils vivent dans une seule et même maison, ils ne s'adressaient plus la parole. C'était comme si la mort de sa mère avait tout brisé. Dans ce monde d'injustice, il y'avait de la couleur dans cette femme mais elle était morte. Tout était redevenue noir, tout était redevenue sang.

7 Ans plus tard.

Cela fait 7 ans que Maman est morte et je le considère de plus en plus comme un étranger. Je n'ai de nouvelle de lui que par les voisins et je ne suis qu'une " Gamine Insignifiante " comme il dit. Mais c'est son rôle de jouer le protecteur et de m'apprendre la vie. Maman, elle, elle était parfaite... J'ai mal. Trop mal.

La jeune fille arrivait à peine à tenir sa plume pour écrire ces quelques mots. Elle gardait tout ses souvenirs à l'intérieur. Dans ces feuilles de papier. C'était sa seule liberté. Le seul moyen qu'elle pouvait pour s'exprimer. Les larmes coulèrent une à une sur ses joues avant de laisser place à un sanglot. Un torrent de larmes salés. Comme une mélodie porté par le vent, quelques mots lui vinrent aux oreilles avant de disparaître par un coup de vent... " Les larmes qui coulent sur ton visage ne sont pas ordinaires... Ce sont des gouttes de sang, de tristesse et de souffrances réelles... ". C'était vrai. Mais d'où venait ces songes, ces phrases qui venait la hanter chaque jour un peu plus. C'était la voix de celle qu'elle aimait tant. Sa mère était là, près d'elle à chaque instant. Pensant que sa mère était revenue, elle accouru vers cet étranger qui reposait dans sa maison.

" Tchi ! Oka - San est revenue ! Elle est là ! Ecoute "
" Sharo. Je n'ai pas le temps de discuter. "
" Ecoute ! Ecoute sa voix, elle est revenue ! Oka - San est revenue ! "

Une douce brise vint chatouiller le coups de la jeune fille mais aucun murmure n'était là. Aucun. Pas un son. La fillette baissa la tête, les larmes aux yeux, honteuse.

" Elle était là..."
" Sharo... Sors de cette maison. "

Elle tressailli et releva la tête, l'air surpris.

" Je ne le répéterai pas une troisième fois. Sors de cette maison ! "

Alors qu'elle s'apprêtait à sortir, il s'interposa entre la porte et elle.

" J'ai trouvé tes lettres. Regarde. "

Il tenait une allumette déjà embrasé à la main, les feuilles si précieuse de l'autre. Il enflamma le trésor sous les yeux horrifiés de sa fille. Ce n'était pas une mémoire qu'il venait de détruire. C'était une liberté de parole. En brûlant cela, il venait d'interdire à la fillette de s'exprimer. C'était finie.

{ 71 Lignes En Tout Sans Compter Les Espaces }

Village : Konoha

Affinités : Terre.

Histoire du Clan : Je ne l'ai pas faites, car disons que j'ai été assez lente à faire ma présentation et je n'aimerais pas que ça dure encore longtemps donc bon... =)

je sais que t'a pas terminer mais bon bienvenue en avance et si tu veut un village vient a suna

Arigatô ! <3

Désoler pour le village j'avais déjà décider... i_i

Merci =)

Mais je n'ai pas finie ma présentation xD

Edit : Sa y'est. Je l'ai terminé.