Présentation Hachi'ko

Nom : Minami

Prenom : Hachiko

Age : 17/18 ans

Taille : 1m68

Description physique : Hachiko est une fille (très important xD) de taille et de poids relativement moyenne pour son âge : elle mesure 1m68 et pèse 46 kilos environ. Elle possède un visage qui ressemble d'avantage à celui d'une enfant qu'à une fille de 17ans. Ses yeux sont pourpres et ses cheveux blancs comme la neige, qui peuvent avoir un reflet rose au soleil même si c'est bizarre. Elle porte un kimono ou une simple robe blanche la plupart du temps. [Ne faîtes pas attention à l'avatar, c'est pas vraiment le bon pour l'instant =S !]

Description mentale : Cette une personne assez calme dans l'ensemble, mais quand on touche le point faible, elle s'éverve à la vitesse éclaire. Pas vaniteuse, ni timide, plutôt sûre d'elle. Elle aime bien rire et pense (comme tout le monde -_-') énormément, mais elle le fait parfois à voix haute, même sans le vouloir vraiment, ce qui peut paraître un peu désagréable de temps en temps. Malgré son caractère plutôt festif, elle reste souvent réservée...

Grade visé: Je sais pas encore

Nindo : Je veux juste vivre sans prob's mais si vous cherchez les noises... è_é !

Histoire :
« Numéro 8, ici ! »
Voici une réplique qui reste en tête, surtout si vous vous appelez Hachiko [« Hachi » veut dire 8]. Hachiko Minami, pour être précise. Petite, calme, pâle, et vendue pas cher ! Quelle affaire, n’est-ce pas ? Vous allez sûrement vous dire… « Mais c’est quoi cette histoire ?! », ben en fait, c’est l’enfance de la jeune ninja.
Depuis sa naissance à Fukue, Hachiko a été vendue, rachetée, expédiée, internée, etc.. Elle passait de main en main, et ne connaissait pas son prénom ! Le seul nom qu’on lui donnait était Numéro 8. Certains de ses « propriétaires » la frappaient, d’autre lui faisaient faire le ménage, d’autres encore la mettaient dans d’affreuses situations où seules les techniques ninja qu’elle avait apprises au fil du temps l’aidaient à survivre.
Tout çà, pourquoi ? Eh bien, simplement parce qu’elle avait les yeux gris. Ben ouais, dans cette famille là, si t’es différent, tu payes ! Discrimination, c’est comme ça que ça s’appelle. [Nan mais è_é !] Enfin bref, dans la famille Minami, un enfant était accepté s’il remplissait trois « devoirs » (qui n’étaient pas des devoirs, mais les chefs appelaient çà comme çà, on y peut rien) : teint pâle, yeux rouges (ou violacés), et le dernier de ces devoirs ne s’accomplissait que lors d’une sorte de rite qui ressemblait à une mission. Celle-ci consistait simplement à créer une technique unique, dont seuls vous-même ou peut-être un seul de vos descendants pouvait acquérir.
On peut en conclure que, comme la gamine n’avait pas les yeux rouges, elle était reniée. Hachiko savait pourquoi, mais elle préférait penser que c’était la faute de ses parents. Ils avaient la belle vie, eux ! Ils se sont enfuis de Fukue en voyant qu’elle avait les yeux gris ! Enfin, c’est ce que le Chef racontait, maintenant, allons savoir si c’est vrai.
Bref ! Je vais arrêter les explications et reprendre au présent ! J’en étais à :

« Numéro 8, ici ! »
La jeune fille s’avança et baissa instinctivement la tête. Soit elle allait se prendre une gifle pour avoir joué avec le fils du maître, soit elle allait changer de propriétaire. L’attente continua ainsi et plus le temps passait, plus la petite se recroquevillait, de peur de l’homme en face d’elle.
« Pars, et ne reviens pas. »
Elle leva la tête, les yeux écarquillés. Partir ? Bon, mauvais ? Gentil, méchant ? Heureux, malheureux ? Elle en savait rien. Bien qu’elle n’avait jamais été heureuse jusqu’à présent, elle ne voulait pas partir ! Elle ne savait pas où aller… Elle le dit brièvement à son maître, et celui-ci la gifla tellement fort qu’elle tomba à terre.
« Tu attires le malheur sur le village, c’est le Chef qui l’a dit ! Maudite sois-tu, toi qui est née d’un mère indigne au clan ! »

Hachiko ne compris pas. Elle n’avait jamais connu ses parents. Elle se contentait de répondre « Je ne peux pas ». Nouvelle gifle. Encore. Encore et encore. A force, le petit numéro 8 ne sentait plus vraiment la douleur des gifles de son propriétaire. Celui-ci s’arrêta brusquement. Hachiko leva la tête pour connaître la raison de cet arrêt : un homme, grand, pâle, blond et aux yeux verts émeraude, s’avançait vers les portes de Fukue. Qu’est-ce qu’un intrus au clan pouvait bien faire par ici ? D’habitude, jamais personne ne s’aventurait dans des lieux aussi sinistre comme l’était le village. Le voyageur s’avança vers le maître de la jeune fille et dit :
« Cet endroit prône une force machiavélique magnifique. Moi, Hasachi, fervent serviteur de Mashon, j’admire toute personne ayant le bon sens de vivre en de tels lieux. »
Hachiko trouvait le nouveau venu très étrange. Mashon, c’était quoi ? Ca veut dire quoi ? Les questions affluaient dans la tête de la fillette tandis qu’elle observait le dénommé Hasachi.

L’homme baissa la tête vers elle, et voyant ses yeux grands écarquillés, pris la parole une nouvelle fois :
« Petite, tes yeux sont gris, et je n’en vois que des rouges… Le malheur t’accable tant que cela ? Je peux très bien lire que toi aussi, tu serais prête à vénérer Mashon si tu le pouvais… Tu ne sais pas ce qu’est Mashon, à ce que je vois ! C’est le maître du monde ! Viens avec moi, et tu comprendras ! »
« Oui ! Emmenez-la ! », criaient les villageois. Ceux-ci s’étaient regroupés autour du voyageur, intrigués qu’il adresse la parole à Hachiko. Elle, se sentait vraiment perturbée, comme si quelque chose la secouait dans tous les sens, même si personne ne la touchait. Elle regardait l’étranger avec encore plus d’étonnement qu’au début de la conversation.

« Mashon avait sûrement prévu cela ! Faire entrer de jeunes gens pleins de bonne volonté de haine, quel délice ! Bien, vu que cela ne vous dérange pas, je l’emmène. »
Il prit Hachiko par la main, et l’entraîna hors du village. Celui-ci se laissait faire, bien que fortement choquée. Elle tourna la tête vers son ancien maître : celui-ci avait ordonné à son fils de chercher du saké. Une grande fête de préparait, ce qui était évidemment très rare à Fukue.
A ce moment là, Hachiko venait d’avoir 5 ans. Elle est née un 15 décembre. Hasachi et elle firent un assez long voyage, et la jeune fille découvrit que son nouveau maître n’était pas du tout ce que l’on pensait. Certes il croyait en Mashon, qui était visiblement le Dieu de sa religion, mais à part ça, il était vraiment un bon gars. Sympathique, bavard et agréable. Très vite, il mis en confiance la jeune fille, lui donna un prénom (elle pensait qu’elle s’appelait Numéro 8, il lui apprit aussi à vivre comme tout le monde, à sourire, à parler (elle ne parlait pas beaucoup), à rire, à chanter, mais aussi à pleurer !

Petite anecdote : quelques semaines après leur départ de Fukue, les deux voyageurs avaient rencontré un petit chaton au beau milieu de la route. Il était minuscule et tout mignon ! Hasachi décida de l’adopter et de l’offrir à Hachiko en cadeau. Celle-ci apprécia énormément le petit chaton qu’elle nomma Kikuyu. Seulement la petite bête était trop jeune, et aurait encore dû être nourrie par sa mère : Kikuyu mourut deux jours plus tard. Pour la première fois de sa vie, Hachiko avait pleuré !

Sinon, Hasachi ne semblait pas être un véritable croyant de Mashon (un bon croyant devrait s’entourer de solitude et de haine) : il mangeait, dormait, etc… Hachiko, qui ne connaissait de toute évidence aucune sorte de religion, ne vit pas qu’Hasachi ne pratiquait pas la religion au mot près. La seule chose en rapport avec la religion était qu’ils priaient Mashon chaque soir. Vu que c’était « un devoir très important que seule une personne comme elle pouvait correctement faire », la jeune fille pris soin de bien prier chaque soir, car c’était son devoir à elle et à elle seule ! « Les jeunes sont vraiment admirable lorsqu’ils se louent à une tâche en laquelle ils croient. » avait une fois dit Hasachi en observant Hachiko en train de prier.
Hachi’ (surnom que lui avait approprié Hasachi) appris aussi à développer ses techniques personnelles, mais aussi les techniques de base. C’est à ce moment-là que la jeune fille compris que son sensei était un ninja (Et oui, elle en a mis du temps ^^) !

A l’âge de 9ans, Hachiko avait grandi, beaucoup grandi ; aussi bien intellectuellement que physiquement. Son seul problème était un vieux complexe : ses yeux gris. Elle commença par faire des cauchemars, de vilains petits cauchemars. Puis elle n’arrivait plus à dormir, trop se souvenirs de son enfance revenaient dans ses rêves. De plus, elle ne voulait pas en parler avec Hasachi, ce qui est étrange, elle lui avait toujours tout dit ! Après l’insomnie vint le refus de se nourrir, de s’entraîner, et surtout de boire. Cela faisait presque une semaine qu’Hachi’ laissait sa peur l’envahir lorsque, pour la première fois depuis 4ans, Hasachi la gifla. « Arrête tes bêtises, tu es forte. » Cette gifle fût comme un détonateur : la jeune fille laissa sa peur de côté et son complexe devint un sujet à la plaisanterie.

Les deux personnes décidèrent de s’installer dans un petit village, un hameaux à vrai dire : le village comptait un dizaine de personnes. Tous les autres habitants étant des paysans, Hasachi ne pris pas la peine d’emmener la petite hors de vue pour l’entraîner. Ils se contentèrent de s’entraîner dans le jardin. Deux semaines après le premier entraînement, un oiseau étrange voltigea autour d’eux pour se poser sur l’épaule d’Hasachi. Il y avait un petit mot accroché à la patte de l’oiseau. L’homme détacha le mot et l’oiseau s’envola aussitôt. Il lut le mot, le froissa et le mis dans la poche. « Il est temps de partir ». Hachiko ne comprit pas vraiment, et demanda pourquoi. Elle n’obtenue pas de réponse, ce qui était bien rare. Elle décida donc de faire ses affaires comme l’avait déjà fait Hasachi. Le soir même, les deux ninjas quittèrent le petit hameau paisible, pour retourner dans les montagnes.

Après un chemin de quelques heures, ils arrivèrent devant une énorme propriété. Rouge et or étaient les principales couleur des bâtiments. Hasachi sonna, un valet ouvrit la porte presque aussitôt et les laissa entrer en s’inclinant. Beaucoup de questions se bousculaient dans la tête d’Hachiko, mais elle était tellement ébahie par ce qu’elle avait autour d’elle qu’elle ne pouvait plus sortir un mot sans émettre des gazouillis étranges ! Elle prit donc l’initiative de se taire et d’observer avec attention ce qui se déroulerait. Les deus personnes s’étaient dirigées vers un bâtiment qui semblait être le principal et à présent, Hasachi toquait à l’entrée. Cette fois-ci, ils durent attendre quelques secondes avant qu’une femme, habillée avec des vêtements de soie particulièrement cher et séduisant pour n’importe quel homme, ne vienne ouvrir, et, voyant qui se trouvait sur le perron, sauta dans les bras d’Harashi.
« Mon enfant ! C’est pas trop tôt que tu nous reviens !... Et cette jeune fille, serait-ce… elle ? »
Le dernier mot avait été prononcé de manière inaudible pour Hachiko, qui se posait de plus en plus de questions étranges.

« Oui, c’est elle. Hachiko Minami, fille de Samara Minami ; TA fille, ma mère. »
Harashi avait prononcé cela de manière directe et froide, comme s’il avait un reproche à faire. Hachiko, elle, tomba sur les genoux et refusa de se lever. Ses parents avaient fuis ? Etaient-ils morts ? Quels étaient leurs noms ? Ces questions lui revenaient de temps en temps lorsqu’elle était gamine, mais cela faisait longtemps qu’elle n’y pensait plus. Ainsi donc, c’était sa mère qu’elle avait en face d’elle, sur le perron. Et... Elle avait un frère ! Grande nouvelle ! Et ce n’était autre qu’Hasachi ! Tout se mélangeait dans sa tête. Elle finit pourtant par dire :

« C’est impossible que tu sois mon frère. Tes yeux son verts comme l’émeraude que j’ai autour du coup. »
En effet, Hasachi avait des yeux d’un verts profond (il avait offert un pendentif à Hachi pour ses 8ans en émeraude). La scène resta fixe un bon moment, puis Hachiko, qui avait les yeux tournés vers le sol, leva la tête et observa sa dite « mère ». Une femme robuste, pâle aux cheveux blancs comme la neige, qui au reflet du soleil, virait parfois au rose, comme les cheveux d’Hachiko, d’ailleurs… Et, des yeux rouge sang. Toutes deux se dévisagèrent un moment lorsque enfin Hachiko réalisa vraiment qu’elle venait de retrouver sa famille. Toute sa famille, sauf son père. Samara expliqua alors l’histoire de leur famille.

« Par où commencer… Bon, voilà. Autrefois, je vivais à Fukue avec le clan Minami. J’étais vraiment heureuse là-bas, jusqu’au moment où j’ai connu ton père, tu n’as pas besoin de savoir où ni pourquoi… Malheureusement, je suis tombée enceinte de ton frère avant notre mariage, ce qui était formellement interdit ! J’ai donc dû partir pendant un an, avant de revenir, sans mon enfant : je l’avais confier à ma belle-sœur. Seulement, mon frère, qui avait tout compris, nous a trahi. Heureusement, l’ancien Chef compris aussitôt et laissa passer à condition que l’enfant n’entre jamais au village. Je pouvais le voir quand je voulais, mais bon… Finalement, ton père et moi nous nous sommes mariés, et très vite j’ai accouché de toi. Tout était parfait, jusqu’au moment où l’on découvrit la couleur de tes yeux. Tout le monde entra en conflit et une mini-bataille éclata dans les rues. « Accepter cet enfant maudit ou pas ? » Ton père m’a obligé à fuir et à te laisser sur place. Il est mort la nuit suivante à cause des blessures… Il y a 4ans, j’ai envoyé ton frère te chercher. Personne ne le connaissait, vu que je ne l’ai jamais montré à qui que ce soit lorsqu’il était petit, et il a réussi à t’arracher au clan sous ma demande. Pourquoi n’ai-je pas demandé à te voir tout de suite ? Tout simplement parce que je t’aurai trop choqué. Encore plus que tu ne l’es maintenant. Excuse-moi de ne pas t’avoir prise avec moi, j’en suis désolée. »

[Suite de l'histoire]

Aussi étrange que cela puisse paraître, Hachiko bouillonnait de rage.
« Samara Minami, tu ne m’a pas non plus acceptée ! Tu m’as abandonné et je ne retournerai pas avec toi ! Tu n’es pas ma mère ! »
« Je t’ai abandonné, c’est vrai. J’aurai dû le faire il y a 10ans, lors de ta naissance, j’aurai dû te tuer au lieu d’écouter ton idiot de père ! »

Les deux enfants sursautèrent et demandèrent une explication d’une même voix.
« Lorsque tu es née, tes yeux gris ont étés la pire des hontes pour moi ! J’ai demandé à ton père de te tuer, mais celui-ci n’a pas voulu, alors j’ai réussi moi-même à provoquer un tumulte parmi les villageois ! Maintenant que tu es là, je vais enfin pouvoir te tuer de mes pr.. Gll, Gpp… »

La cage thoracique émit un bruit d’explosion et Samara cracha su sang. Elle allait mourir... Mais avant cela, elle eût le temps de faire une chose... Particulièrement étrange : elle échangea ses yeux avec ceux de sa fille. « Le seul cadeau que j’ai pu offrir à ma fille avant qu’elle ne me tue. Je suis… fière. »

Ainsi, Hachiko se retrouvait orpheline, mais avait tout de même son frère. Elle avait les yeux pourpres de sa mère et plus ses yeux gris qui la rendaient malade.
Hachiko tomba à terre, raide de fatigue. Lorsqu’elle se réveilla, elle se trouvait dans une pièce coquette et bien rangée qu’elle ne connaissait pas. Elle se leva et découvrit une lettre de son frère :

« Chère Hachi’, je tiens à m’excuser pour ce qui c’est passé avec nos parents, j’aurai voulu t’en parler en face, mais je n’en avais pas le temps : Kiri a accepté ma demande au poste de Professeur à l’Académie et je commence dans les jours qui suivent. Je n’était vraiment as au courant pour maman, ça m’a fait un choque, tu peux me croire, vraiment. Bref, je t’ai déposé ici, tu verras, c’est vraiment bien ! Tu y trouveras des ami(e)s, j’en suis sûr. Je dois partir, bonne chance petite sœur.
Hasachi. »

Hachiko sourit et descendit découvrir sa nouvelle vie. Au bout de quelques jours elle était devenue amie avec Kaede, Kaede Minami. Etrange, nOn ? Et quelques semaines plus tard arriva une troisième Minami : Rin. Vraiment bizarre, était-ce une coïncidence ou autre chose… Elle ne savait pas, et continua sa vie paisiblement avec ses amies et la responsable de l’auberge : Kagura. Jusqu’à leur 17 ans, où Rin, Kaede et Hachi’ décidèrent qu’il était temps de s’en aller !

Village: Je sais pas encore é_è

Affinités: Suiton

Histoire du Clan Minami:

L'histoire de ce clan débute bien avant la naissance de Sandaime Sarutobi, autrement dit à l'année -75 avant le scellement de Kyuubi dans Naruto. A cette époque, la médecine et les jutsus médicaux n'étaient pas très développés et les maladies et blessures des ninjas étaient très difficilement soignées. Ce qui causa la perte de beaucoup de soldats durant les guerres. Suite à une bataille particulièrement dévastatrice, des médecins expérimentèrent d'autres techniques mais la progression était lente. Un jour, parmi tous ces chercheurs, un homme aux pensées un peu psychopathes réussit à perfectionner des jutsus chirurgicaux. Son but principal consistait à tester des greffes mais également d'étudier la structure de l'ADN humain. Cependant, ses expériences étaient faites non sur des animaux mais sur des humains. De plus, les opérations se faisaient sans anesthésies ni quoi que ce soit d’autre, ce qui transformait sa salle d'expérimentation en une salle de torture. Les autres scientifiques désapprouvèrent totalement ce moyen barbare : Ils décidèrent alors de l'exiler...

Voulant à tout prix poursuivre ces expériences, le vieux médecin vagabonda de cité en cité et de village en village afin de fonder un groupe de docteurs ayant les mêmes idées que lui...
Suite à cela, ils s'installèrent entre le pays du feu Konoha et celui du sable Suna. De leur repère, les membres du clan pouvaient continuer leurs expériences en emmenant soit des cadavres, soit des blessés de la guerre entre Konoha et Suna. Les années passèrent et les membres réussirent enfin à manipuler un peu la structure génétique. En introduisant certains gènes d'animaux ou de prisonniers ayant eu des techniques héréditaires dans des gamètes femelles, ils pouvaient ainsi faire naître des embryons in vitro ayant certaines caractéristiques et pouvant même plus tard élaborer de nouveaux jutsus. Ils essayèrent aussi t'inter changer à leur guise les bases azotés dans les nucléotides tout en respectant la logique du code génétique. Toutefois, la plupart des foetus mourraient et ceux qui survivaient étaient malformées. Malgré cela, les expériences se poursuivirent jusqu'à qu'un beau jour, un petit être naquit...

C'était un petit garçon qui au départ ne semblait pas robuste. Cependant, c'était le seul à survivre et à être normal. Les docteurs l'étudièrent de près sans trop savoir si le nouveau-né possédait des pouvoirs héréditaires. Le doute régnant beaucoup autour de cet enfant, ils décidèrent de le laisser grandir le temps de récupérer plus d'information. Jusqu'à ses trois ans, le jeune garçon fût aimé et éduqué comme un enfant normal à la différence qu'il ne sortait jamais du repère et subissait régulièrement des contrôles. Afin de supporter toutes ces analyses, une mère adoptive venait régulièrement jouer avec lui. Lors de ses quatre ans, la jeune femme lui offrit un petit chien pour qu'il se sente moins seul durant son absence. Alors que celui-ci le caressait, le petit animal le mordit. Le jeune enfant pleura de douleur. Quand la mère et les autres chercheurs arrivèrent pour voir ce qui se passait, l'enfant avait disparu et la salle était recouverte de sang. On pouvait voir par terre la pauvre bête complètement en miettes, comme si elle avait explosé de l'intérieur...

Les chercheurs étaient stupéfaits. Ils ne pensèrent point que le fruit de leurs expériences créera un être aux attaques assez sanglantes. Tous les membres du clan partirent à la recherche du petit. La mère finalement le retrouva dans un coin du couloir, dans le repère. On l'emmena dans la salle des analyses, un médecin lui demanda ce qui c'était passé. Il répondit alors que le chien l'avait mordu et lui montra sa main. Il n'avait plus la marque de la morsure... Depuis cet évènement, le jeune garçon subissait de plus en plus d'analyses, plus embêtantes les unes que les autres. Finalement, les scientifiques réussirent à trouver et comprendre les techniques héréditaires que possédait cet enfant. Il était capable de manipuler le sang à sa guise et même certains organes reliés au sang tel que le coeur. Il y avait toute fois des risques : si il accélérait le coeur de quelqu’un, son coeur accélérerait également. Idem si il le ralentissait. C'est ce qui expliqua pourquoi le petit était tout essoufflé et pourquoi il n'avait plus sa blessure à la main. En accélérant la circulation du sang de l'animal, il accéléra aussi le sien, et étant donné que le système sanguin est différente chez un humain et chez le chien, la pression sanguine exercé sur la bête ne fut pas supporté (n’est pas supporté par l'animal mais supporté chez l'être humain en raison de la différence de taille du système sanguin) et le chien explosa de l'intérieur. D'autre part, l'accélération du rythme cardiaque provoqua une cicatrisation plus rapide chez l'enfant mais également une fatigue plus rapide. Les docteurs, contents de leurs découvertes, s'empressèrent de créer d'autres prototypes plus développés à partir de l'ADN du jeune enfant. Pendant les multiples essais, d'autres personnes (et notamment la mère adoptive) entraînèrent le petit à ces nouveaux jutsus. Un mois après, ils réussirent à concevoir un embryon qui selon les hypothèses, serait capable de manipuler les organes. 9 mois plus tard, la naissance in utero a eu lieu, c'est une fille...

Lors de l'accouchement, la mère porteuse mourut aussitôt, tous ses organes internes fussent endommagés. Il était évident chez les médecins que c'était une réussite, cependant, il leur paraissait bien étrange que le nourrisson ait acquit dès la naissance ses pouvoirs. Cela les inquiétait beaucoup toutefois, le fondateur du clan (qui était un très vieil homme maintenant) insista de garder le bébé et de le laisser grandir à son tour, en compagnie de son « frère ». Malgré les nombreuses protestations et avertissements, ils obéissèrent...

La petite fille eu bientôt ces 10 ans (son frère en avait 14) et tous les deux maîtrisaient plutôt bien leurs techniques, tellement bien que cela inquiéta énormément le groupe. A la mort du fondateur, les médecins se réunirent alors afin d'arrêter les expériences et de se débarrasser des deux enfants. Tout le monde accepta. La mère refusa mais préféra ne rien dire aux autres dans le but de ne pas éveiller les soupçons lorsqu'elle s'échappera avec les petits. Vers une heure du matin, elle réveilla les deux enfants et tenta de s'échapper sans leurs expliquer la situation. Malheureusement, des gardes la surprirent...

Elle cria aux enfants de partir en voulant les expliquer assez rapidement. Mais un des soldats fut plus rapide qu'elle et la tua. Les deux enfants, terrifiés, s'enfuirent aussitôt mais d'autres ninjas eurent le temps de les encercler. Sous le coup de la peur et de la colère, le jeune garçon attaqua l'un des gardes avec une technique qu'il avait perfectionné durant son entraînement : le chimidoro no bakuhatsu. Le garde explosa exactement comme le chien auparavant mais pas à cause de la vitesse du sang mais à cause de son volume. En effet, les globules rouges s'étaient multipliés à l'intérieur du corps du ninja, ce qui éclata les veines puis le reste. Le garçon avait tué sa première victime et n'allait pas s'en arrêter à là. Cependant, cette technique consommait énormément de chakra et le blessait par la même occasion. La jeune fille prit la relève en exécutant une technique consistant à endommager les organes de l'intérieurs en y faisant passer sa main (la main devient comme un fantôme, elle passe derrière la peau et le muscles et redevient normal quand la main a touché un organe. Du coup, on est obligé de retirer sa main de force en arrachant carrément l'organe prit du reste) Les deux enfants continuèrent leurs massacres jusqu'à qu'il n'en reste plus. Les couloirs étaient remplis de sang, on voyait joncher par terre une douzaine de cadavres complètement déchiquetés, des bras par ci, une tête par là... Les deux petits s'enfuirent alors hors du repère. Ils s'éloignèrent le plus loin possible de cet enfer en traversant les forets, les déserts, les plaines... Ils continuèrent leur chemin jusqu'à qu'ils arrivèrent dans un petit village entre le pays de la neige et celui du son. Le village semblait désert, et était à moitié détruite, surement à cause de la guerre. La neige était de partout. A coté du village il y avait une espèce de grand temple sinistre et abandonné. Ils décidèrent de s'y installer. Des années et des années défilèrent. Les deux personnes qui étaient avant des sujets d'expériences devinrent des adultes libres. Ils eurent ainsi plusieurs enfants qui, à leurs tours eurent des enfants. La famille s'agrandit et donna naissance au clan Minami...

[L'histoire du clan ne vient pas de moi, elle vient d'une personne qui va s'inscrire dans pas longtemps et qui fera partie du clan aussi, s'il est accepté ^^ ! Sinon, est-ce que je dois rajouter les spécialité du clan et les techniques ?]

AriigatoO vous trois ^^ !

Kazas: ouii, c'est vraiment long à faire =P !

Kôsuke : Ben, j'attends que deux amies à moi s'inscrivent : on a décidé de s'incrire toutes les trois et on voulait aller dans le même village, seulement on a pas décidé lequel -_-'... Et puis pour le grade.. Je sais vraiment pas >.<" !