Nom : Namiko
Prenom : Waotaka
Age : 21 ans
Taille : 1m85
Description physique :
Waotaka Namiko est un jeune garàon de 21 ans il mesure 1mettre85 pour 75kg , un jeune garçon avec un corps assez musclé , il a des cheveux mi long et de couleur blanc avec des yeux assez cool qui sont gris , une peau mate. Waotaka est habiller avec un t-shirt blanc et par dessus il porte une sorte de veste qui laisse ouvert , un pantalon qui desend jusqu'au cheville et des chaussure banale celle que tous les ninja ont . Waotaka porte toujours sur lui son katana , un katana assez special car il est tres fin ceux qui lui permet d'etre rapide , il est fait avec une pierre assez special , cet pierre est tres solide ceux qui lui permet une soliditer hors paire
Description mentale : Là, pareil (5 lignes)
Waotaka est une personne solide, stable et sur laquelle on peut compter. Mais lorsqu’il se fixe un objectif, il est rarissime qu’une personne extérieure arrive à le dissuader de l’atteindre et il ira jusqu’au bout de ses forces pour réussir car il est convaincu de la valeur de ses objectifs. Il est aussi quelqu’un de réaliste, intelligent et patient qui accorde des valeurs très importantes dans les relations familiales et sociales, placide et fort, il ne s’énerve que très rarement. Laissant venir les évènements avec un calme qui semblera parfois être de la nonchalance. Mais il ne faut pas s’y tromper, l’œil est vif et il sait très bien où il veut en venir, simplement il fait attention à ne pas tout bouleverser pour atteindre ses objectifs et préfère se laisser porter pour, mine de rien, atteindre son but sans efforts apparents. Sa patience lui permet d’attendre des années, sans perdre son objectif de vue, car il sait qu’il y arrivera et cela lui suffit pour ne pas s’inquiéter.Malgré un manque de motivation apparent et une tête de mule, il n’est pas quelqu’un de profondément détestable, il a tendance à rester silencieux. Mais malgré son apparence tranquille, c'est un coléreux, ou plutôt un violent. Car, pour être rares, ses colères n'en sont pas moins terribles. Détestant la foule, il aura tendance à rester seul et lorsqu'il est trop entouré il devient froid et distant.Sa plus grande peur réside dans le néant, le vide absolu, chose, qui d’ailleurs, lui cause de très nombreux cauchemars. La perte de tous repères et de tout sens… Mais il à aussi très peur pour ses proches en qui il tient énormément. Il supporte très mal son impuissance face à la mort, voleuse de vie, le bien le plus précieux donné à l’être humain, voleuse agissant en toute impunité pour le simple bien de « l’équilibre universel » où se trouve le quelconque équilibre dans le fait de rendre des enfants orphelins ? …
Grade visé: Kazekage
Nindo : Devenir le Kazekage du village le proteger jusqu'a la mort et faire de se village l'un des plus grand village et plus puissant
Histoire :
Il y a quelques années, durant une nuit fraîche de Suna. Une jeune femme, très belle, hurlait sur son lit. Cette jeune femme était d’une beauté étonnante, elle possédait un visage fin, dénué de tout défaut, de toute cicatrice, de lèvres finement dessinées posées sur un petit menton, ce visage encadré de joues rosies aux pommettes hautes rosies par la douleur dégageait un charme particulier, ses deux petits yeux bleus allait très bien avec des cheveux, à la couleur plutôt unique. Des cheveux bleu-acier.
Cette femme était posée sur un lit très grand et très beau. Couchée sous des draps de soies, la tête posée sur des coussins de velours. Baignant dans une opulence bourgeoise, cette chambre était grande et bien décorée, les murs tapissés de toiles de grands peintres et des meubles des plus grands menuisiers. Un grand homme vêtu de blanc était assis au chevet de la demoiselle, les magnifiques draps étaient tâchés de sang, et cette femme commençait à tourner de l’œil, la douleur était trop forte, mais un autre homme était agenouillé à ses côtés, lui serrant la main avec tendresse. C’était un homme grand, très bien bâtit. Cet homme était habillé de vêtements orientaux spécifiques, tandis que sa femme, nue, continuait de souffrir dans son lit. Il ne pouvait à son plus grand malheur, rien faire. Il ne connaissait pas cette douleur qui torturait sa femme, et ne la connaîtrait jamais. Car cette belle jeune femme était en train d’accoucher.
Le médecin faisait de son mieux pour atténuer la douleur de la femme, mais cela ne semblait pas marcher. Mais après toute cette douleur, le bonheur arriva, frappant à la porte du couple et entrant dans leur vie, ce bébé allait marquer un tournant dans leur vie.
Le bébé était magnifique, sauf un détail qui choqua le médecin, et qui déstabilisa les parents. Un étrange tatouage se trouvait sur la nuque du nouveau-né. Un symbole aux formes tribales et agressives laissant vaguement penser à la tête d’un taureau ou d’un buffle. Ce symbole effraya les parents, mais, qu’importe ce qu’il représentait, qu’importent les présages que cela annonçait, c’était leur enfant. Leur premier enfant.
La jeune femme pris son enfant dans ses bras, elle l’avait porté durant neufs longs mois, avait souffert des heures avant de le mettre au monde. C’était SON fils. Puis la jeune femme glissa quelques paroles à l’oreille de son mari.
- « Akimitsu ? Voici… ton fils ! »
L’homme, nommé Akimitsu , attrapa l’enfant dans ses bras. Il était beau, et avait toute la vie devant lui, ce tatouage ne pourrait rien y changer.
- « Akiko… Il est magnifique. Je suis fier de toi mon ange ! »
Akiko Namiko rougit du compliment. Mais il restait une chose à faire, donner une identité à leur fils, et lui donner un nom. Ils avaient longuement réfléchit.
Le docteur qui observait passivement la scène, partit silencieusement, laissant le couple à leur bonheur, il avait déjà été grassement payé, même plus qu’il ne le fallait, et en sortant, il posa la partie de la somme qui était en trop sur un des magnifiques buffets.
Akimitsu souleva son fils, pendant qu’Akiko émue observait silencieusement, elle avait tellement attendu ce moment.
- « Waotaka ! Bienvenue dans la famille, mon fils ! Deviens un homme bon ! C’est tout ce que nous te demanderons ! »
Cela semblait insignifiant, mais ce geste marqua le bébé, c’était peut être juste inconscient mais ces paroles lui resteraient durant toute sa vie. Un souvenir de sa première heure, n’était ce pas exceptionnel ? Non, juste un hasard. Son avenir commençait là !
Un doux enfant, ou entrée à l’Académie :
Huit années après cette nuit placée sous le signe du bonheur et de la joie, l’enfant avait grandit et ressemblait à ses parents, les cheveux de sa mère, les yeux bruns et sauvages de son père ainsi que sa constitution, et cette petite lueur d’intelligence tenue de sa mère. Cet enfant n’avait rien d’exceptionnel, pas plus intelligent qu’un autre, à peine au dessus de la moyenne de force des autres enfants, tout ce qui le démarquait était ce bandage qu’il portait autour de la nuque et ce à chaque fois qu’il était en présence d’une personne extérieure à la famille. Les Namiko avaient décidés de suivre les conseils avisés du grand père, et d’inscrire leur enfant à l’Académie Ninja de Suna. Après tout leur famille avait toujours vécue abritée dans le village et jamais un membre de la famille n’avait participé autrement que financièrement aux guerres, cela allait changer, l’enfant était souvent dans les nuages, un petit rêveur qui semblait manquer de motivation… Mais tout le monde ressentait chez lui cette aura étrange, qui disait à tous « Regardez Moi ! Souvenez vous de Moi ! J’accomplirais de grandes choses ! ». Simple supposition de la famille… Mais l’enfant fut inscrit de la même façon que les autres, la famille avait décidé qu’il n’aurait pas droit à un traitement de faveur, il apprendrait comme les autres, et dépasserait les autres par ses propres moyens, ou échouerait comme les autres….
Et c’est ainsi que commença son premier jour, il portait un bandage à la nuque, un large pantalon de toile, des chausses renforcée de minces plaques de fer, une paires de mitaines et une espèce de maillot de corps que ça mère voulait absolument qu’il porte pour « mouler » ses muscles naissants.
La classe était grande, et Waotaka se sentait un peu ridicule avec ses vêtements, tout le monde le regardait… Mais ce que le garçon ne savait pas c’est que ce n’était pas ses vêtements qui attiraient l’attention mais sa couleur de cheveux et ce bandage à la nuque. Il s’assit au premier rang, puis une étudiante s’assit à côté de lui, elle était jolie. Elle avait les cheveux roses, un petit visage arrondi et deux grands yeux de couleur cyan. Elle portait une tenue de kunoichi mauve et blanche et une bande de tissu noire autour de la gorge. Cette jeune fille fit aussi la première à adresser la parole.
- « Ohayo !! Tu es nouveau ? Je ne t’ai jamais vu ici… Moi je m’appelle Ayane ! Ayane Hiromushi ! Et toi ? »
- « Euh… Je m’appelle Waotaka ! Waotaka Namiko ! Enchanté de faire ta connaissance Hiromushi »
- « Tu peux m’appeler Ayane. »
- « Hum… Oui excuse-moi… »
- « Hihi c’est pas la peine de t’excuser ! »
- « Euh oui pard… Oui ! »
Mine de rien, une grande amitié naissait entre ces deux personnages, Waotaka venait de se faire sa première amie, avant il ne sortait que très rarement de chez lui, et quand il sortait c’était pour aller courir avec son père et s’amuser avec lui ou faire les courses avec sa mère. Sa maison était tellement grande qu’il avait toujours trouvé des recoins pour s’amuser, il est vrai qu’il s’amusait souvent avec les majordomes et les servantes, ces parents étaient humble malgré leur richesse, et souvent les parents de Waotaka aidaient les servant dans leur tâche, il y avait plus une relation d’amitié et de confiance que de rapport maître/valet. Il arrivait que les enfants des servants viennent s’amuser avec le petit Waotaka, ce qui faisait qu’il n’avait jamais vraiment cherché à aller se faire des amis. Akimitsu et Akiko n’en parlaient que très rarement mais ils avaient peur qu’on enlève leur enfant pour demander une rançon, l’argent n’était pas le problème, ils auraient tout donné pour leur enfant, mais s’il avait été traumatisé de quelconque manière, les séquelle seraient restées à vie.
Quelques heures plus tard, à la fin des cours, Waotaka raccompagna Ayane chez elle, ils discutèrent en chemin, puis petit à petit leur amitié commença à se forger. Différents rendez vous suivirent, pour aller jouer, des invitations à prendre un repas chez l’un ou chez l’autre, les parents étaient très content de cette relation entre les deux enfants. Entre eux tout n’était que joie et insouciance, un monde rose, parfait. Waotaka avait beaucoup d’amis, ses résultats à l’Académie étaient convenables, c'est-à-dire qu’il était doué, mais il ne donnait que le minimum syndical de ce qu’il pouvait faire, alors que les résultats d’Ayane étaient excellents. Ayane connaissait parfaitement le niveau réel du petit Waotaka qui ne déployait toute son énergie que pour jouer, grimper aux arbres, chasser les lézards, les papillons, faire des ricochets, jeter des pierres sur des cibles taillées dans les arbres.
Puis arriva leurs anniversaires respectifs, le hasard fit que leurs anniversaires tombaient exactement le même jour ! Et les deux étudiants voulaient trouver un cadeau original à s’offrir. Waotaka s’attela à la fabrication d’un shuriken ! Il demanda de l’aide à un forgeron, tout d’abord l’homme refusa, mais le garçon insista et revenait tous les jours après les cours pour que le forgeron accepte, puis après une semaine le vieux forgeron accepta, le garçon était attachant et il voyait son amie le matin qui insistait autant que lui ! Les deux avaient parlé du cadeau, et le hasard frappa encore, les deux enfants fabriquèrent leurs cadeaux respectifs chez le même forgeron mais à des heures différentes.
Waotaka fabriqua un shuriken à 5 branches, avec gravé au centre un papillon tandis que Ayane fit un kunaï légèrement plus long que la moyenne qui ne pouvait pas être lancé avec gravé dessus une petit soleil. Puis le jour J arrivant, ils s’offrirent leurs cadeaux, Waotaka et Ayane en étaient très heureux, tout allait pour le mieux… dans le meilleur des mondes.
Village : Suna
Affinités : Terre
Histoire du Clan : [Facultatif]